Samedi 29 octobre 2016
Quelques photos de Rada Tilly, au bord de l’océan. De superbes maisons bordent cette rue face à l’océan. Il doit faire bon vivre dans cette petite station balnéaire.
Les réceptacles pour sacs poubelles afin que les chiens ne les éventre (photo1)
Une école (photo 8)
Dimanche 30 octobre 2016
Cet épisode avec Tranquiloubilou fait que nous quittons Rada Tilly, bien moins confiants. Il semble pourtant bien fonctionner et je me dis qu’il y a obligatoirement en Argentine des mécanos très compétents, tout comme en France il y en a de très incompétents.
La nationale 3 après Rada Tilly est complètement pourrie mais les vues sur l’océan sont superbes. Sur l’océan seulement. Vers l’intérieur c’est toujours cette espèce de maquis, de plus en plus parsemé toutefois. La végétation doit avoir plus de mal à pousser.
Tout le long de la route des hommages à Gauchito gil et Difunta Corréa.
Nous passons Caleta Olivia et le paysage change totalement. Ici, il pousse des puits de pétrole.
Nous nous arrêtons sur une plage 8 km plus au sud ou paraît-il une colonie de lions de mer aurait élue domicile.
Nous sommes à peine arrivés que nous en apercevons un dans l’eau. Il ne nous faut pas longtemps pour être sur la plage, je peux vous l’affirmer. Puis nous apercevons deux autres, certainement un couple.
Le premier s'arrête devant moi et se dresse dans l'eau. Il prend la pause ou est ce une manoeuvre d'intimidation?
Après déjeuneur nous allons stationner à l’autre bout de la plage. Sur un parking un peu plus en hauteur, 5 à 6m au-dessus de celle-ci. Je me dis que si j’étais lion de mer, je serais mieux au pied de cette butte que sur une plage sur laquelle n’importe quel casse pied viendra me déranger pendant ma bronzette.
Nous pouvons les voir folâtrer, d’abord du bord de l'océan puis ensuite de notre promontoir.
Dis-moi, la sortie du bain, c’est quand tu veux!
IL est 16h. Ces messieurs-dames batifolent dans l’océan et cela fait 2 heures que nous sommes plantés là, à les regarder dans l’espoir qu’ils viennent se faire dorer la pilule. Nous allons prendre un chocolat dans le CC en attendant la soirée. A 18 heures il y a toujours ce ballet incessant de voitures qui s’arrêtent et d’autochtones qui descendent sur la plage mais nos charmants bestiaux sont toujours à l’eau. Maîtrisant maintenant parfaitement le castillan (lol), je demande à un petit monsieur bien sympa si les lions de mer viennent sur la plage. Il tend le bras vers celle où nous étions ce matin pour nous montrer les lions de mer qui se reposent à côté des pêcheurs à la ligne.
Nous rejoignons la plage du matin avec le camping-car. Spectacle étonnant. Tout ce petit monde fait bon ménage ; pêcheurs à la ligne, badauds et enfants qui jouent à moins de 10 mètres de ces énormes peluches.
I
Il nous faut avancer, un bivouac sur le bord de la nationale 3, même si c’est au bord de l’océan ne me tente pas. Le revêtement de la route après Caleta est nettement plus beau. Même si je n’aime pas rouler à cette heure tardive nous reprenons la route en direction de Fitz Toy où nous arrivons, passé 20H. Nous stationnons sur le parking d’une station Ypf afin de profiter du wi-fi, mais comble de chance, il est en panne dans tout le village.
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