Samedi 10 décembre 2016 Nous avions prévu d’aller au Périto Moréno lundi afin d’éviter l’affluence du week-end. Seulement il fait tellement beau aujourd’hui que nous changeons nos plans.
C’est vers 11h00 que nous quittons El Calafate en direction du Parque Nacional Périto Moréno. La route qui y mène est totalement asphaltée et même relativement belle jusqu’à l’entrée du parc, 47kms. Ensuite de l’entrée du parc jusqu’au parking, ce sont des plaques de bétons en bon état, 30kms.
Il est un peu plus de midi quand nous arrivons sur le parking et nous décidons d’aller voir le site immédiatement. On ne sait jamais le temps change vite par ici. Nous emmenons quelques gâteaux qui nous permettrons d’attendre un bon steak.
Nous prenons la navette qui mène au-dessus du Glacier et nous entamons la promenade sur les passerelles.
C’est grandiose, il n’y a rien d’autres à dire.
Le glacier gronde régulièrement jusqu’à la chute d’énormes morceaux de glace. Superbe ! Nous effectuons tous les parcours, le vert, le rouge et le jaune avant de prendre le bleu, « sendéro de la costa » qui nous ramène au parking.
Nous quittons le parc vers 17h00 car le vent commence à être vraiment fort. Des rafales à 80 km/h sont annoncées.
Nous rejoignons le camping El Niriguao. Ce camping est certes un peu moins classe que le précédent mais il a l’avantage d’avoir un wifi puissant, que, grâce à l’antenne, je peux capter du camping-car, ce qui va me permettre enfin de mettre le blog à jour. De plus pour le cas ou cela ne fonctionnerait pas, une salle de repos chauffée avec, Wifi, télévision est à la disposition des campeurs. L’accueil est des plus chaleureux, ce qui n’est pas le cas au camping El Ovejero. Au camping El Ovejero, si l’on veut le Wifi, c’est sur la terrasse devant l’accueil, on nous a refusé de s’assoir à une table à l’intérieur. Mettre mon blog à jour avec le bonnet et la polaire, très peu pour moi. Les sanitaires sont anciens. On voit que tout est fait avec peu de moyen mais tout est propre et entretenu. 100 Ars de moins par nuit et en plus nous stationnons sur l’herbe. Nous aurions dû venir là dès le départ. Par la route ce camping est beaucoup plus loin du centre-ville que le camping El Ovejero mais à pieds, il y a à peine 150m de plus, grâce à une passerelle qui franchit le rio et qui permet d’arriver juste à la sortie du camping El Ovejero.
Je peux donc commencer la mise à jour de mon blog.
Dimanche 11 décembre 2016
Temps maussade, pluie, soleil, pluie ! ce n’est pas grave, il me faut la journée pour mettre le blog à jour. Dominique cuisine et nous dégustons un succulent gigot d’agneau de Patagonie. A 16 heures un ananas. Qu’elle misère ? Grâce à internet et après avoir consulté les bulletins météo, nous comprenons enfin pourquoi on ne sait jamais d’où vient le vent dans ces pays. Aujourd’hui le vent change de sens pratiquement toutes les heures.
Commenter cet article