Jeudi 12 octobre 2017
Beau temps encore ce matin, tant mieux car ce n’est pas ce qui était annoncé par la météo. Cette fois-ci adieu Argentina. Sauf problème nous obligeant à rejoindre Montevideo, nous ne devrions pas repasser par ce pays où nous avons pu voir tant de beaux paysages. Avant de passer au Paraguay, nous voulons visiter le « parque de los aves », un parc ornithologique situé près des chutes côté Brésil où l’on peut voir une grande partie des oiseaux vivant en Amérique du sud ainsi que quelques reptiles et de magnifiques papillons. C’est vers 9h00 que nous quittons Castillo Iguazu, nous passons faire quelques courses et.....
un arrêt pour voir la marque de treis fronteras coté argentin avant de repasser au Brésil.
A gauche la marque Tres fronteras, en rouge et blanc, côté Paraguay. En face la même marque côté Brésil, en vert et jaune. Le Rio Iguaçu qui jette ces eaux marron/rouge dans le Parana.
Nous passons une fois de plus à l’immigration brésilienne où l’on ne nous fait toujours pas d’importation temporaire pour le véhicule. Et comme Tranquiloubilou ne nous avait encore pas fait de misère, il faut bien que cela commence un jour. L’amortisseur pneumatique droit est complètement à plat, alors que depuis le début du voyage et ce matin encore, les deux poumons étaient à 5.5kpa. J’ai beau m’évertuer à le gonfler, la pression retombe immédiatement. Je sens que la journée va être foutue. Nous filons quand même vers notre destination et nous nous installons sur le parking pour déjeuner. Pas vraiment faim, l’envie n’y est plus. Moi qui ai toujours pris pour devise cette phrase attribuée à Napoléon « quand on désire fortement et constamment, l’on réussit toujours » je me dis qu’en vieillissant l’envie de réussir n’est certainement pas aussi forte qu’avant. Je commence vraiment à penser rentrer en France car Tranquiloubilou commence à me les briser menues. Je n’ai pas envie d’être emmerdé comme nous l’avons été lors du premier voyage.
En début d’après-midi nous allons quand-même visiter le parc.
Puis nous entrons dans les volières.
Il est évident que celui-ci aime prendre la pause. Ils sont plusieurs dans cette volière mais il est le seul à voler, de personne en personne et se poster devant.
A défaut de l’avoir vu en liberté , ce bel anaconda!
Si Dominique s’offre une bonne glace à l’italienne, je goutte à l’eau de coco. Si cela n’a pas vraiment le gout de coco cela a l’avantage d’être très frais et très désaltérant car il fait encore plus de 35°
Iguane. Jacaré, mais nous les avions vu de plus près à Estero del Ibera et quelques boas.
Eux, ils regardent cette floppée de pantins, dont nous faisons partie, prendre des photos.
Nous entrons ensuite dans les volières à papillons.
Puis une multitude de Morpho, impossible d'arriver à le photographier avec les ailes ouvertes, dommage!
Tous ceux-ci ne vivent pas en Amérique du sud sauf dans ce parc qui est vraiment très beau et très intéressant. A notre sortie du parc, nous filons chez un garagiste recommandé sur Ioverlander. Aujourd’hui c’est férié soi-disant et il dit qu’il peut s’occuper de nous demain matin 8h00. Nous allons nous installer au camping Paudimar où nous pouvons profiter de la piscine.
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