Vendredi 10/08/2012 km au compteur 1556
Toujours ciel bleu et soleil. Je prépare les vélos et nous partons pour Fribourg vers 9h30. Arrivé à l’entrée de la vieille ville, je m’aperçois que j’ai oublié les clés des anti-vols ; Heureusement il ne faut pas plus de 10 mn en vélo pour faire l’aller-retour. Nous rangeons les vélos sur les parkings prévus à cet effet, il y en a déjà une bonne centaine.
Nous voulions absolument voir Fribourg car en 2003, en rentrant de Bavière nous n’avions pas trouvé l’aire de camping-car, les camping étaient bondés, nous ne nous étions donc pas arrêtés. A chaque fois que nous parlons de l’Allemagne, on nous dit d’un air étonné «vous n’avez pas vu Fribourg ?? »
Fribourg c’est grand et il y a beaucoup de monde, ce n’est peut-être pas un endroit pour nous, nous avons déjà évité Stuttgart. Ce qu'il y a d’étonnant, ce sont les trams, de toutes les couleurs et qui se suivent les uns derrière les autres, comme des voitures.
Nous arpentons les rues de la vieille ville jusqu’à la cathédrale et nous ne sommes pas franchement convaincu, d’autant plus que la place de la cathédrale est envahie de camelots, ce qui empêche toute vue correcte sur les bâtiments et sur la cathédrale. Imaginez un marché sur le parvis de Notre-Dame de Paris ou sur l’esplanade du Trocadéro ! Nous visitons la cathédrale et là encore, nous sommes plutôt déçus. Gigantesque, énorme, un travail incroyable, c’est certain ; on peut trouver tout un tas d’adjectifs pour qualifier la grandeur de ce monument, mais beau non. Je préfère de loin les décorations des églises visitées précédemment.
Nous regagnons le CC vers midi. Nous déjeunons et prenons la direction de Triberg.
De Fribourg à Triberg, Allemagne en camping-car
Sur la route 294 nous prenons une petite route en direction de Simonswald qui nous ramène sur la route 500 peu avant Furtwangen. Très belle route sur laquelle nous effectuons quelques arrêts promenade. Nous arrivons à Triberg, ville toute en déclivité.
Le parking réservé au camping-car à Triberg (au fond). Pas très agréable, bourré de camping-car Italiens et de toute façon inaccessible avec un gros porteur. Je n' ai rien contre les Italiens, bien au contraire mais je pense qu'ils représentent environ 60% des camping-car rencontrés en Allemagne depuis le début de notre voyage. Nous sommes obligé de traverser toute la ville pour pouvoir faire demi-tour.
Nous nous arrêtons sur l'aire de camping-car de Schonach.
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