Dimanche 28 avril 2018
Aix-Marseille par l'autoroute, c'est très vite fait et Eric stationne sa voiture dans le parking du Mucem. Nous n'avions pas revu Marseille depuis quelques années et cela a bien changé. Monique et Eric nous font découvrir le quartier du MUCEM qui n'existait pas lors de notre dernière visite.
Le ciel est tout gris. notre visite est donc de courte durée car la pluie s'abat sur la ville. Une petite glace et nous rentrons. Nous finissons la journée chez Monique et Eric.
Lundi 30 avril 2018
Nous quittons Monique et Eric en début de matinée. Nous les remercions pour cet excellent accueil et espérons les revoir bientôt.
Gréoux les bains, Castellane, Route Napoléon jusqu'à Grasse. Un bon repas dans un super resto à Bar sur Loup, Cagnes sur mer et nous récupérons l'autoroute. Si nous continuons par la route nous ne verrons pas mon oncle aujourd'hui. Nous nous arrêtons au centre cardio-thoracique de Monaco où il vient d'être hospitalisé pour un double pontage cardiaque. Quelque chose me dit que finalement nous avons bien fait de rentrer.
Particularité du rocher, le Gps nous dit,"vous êtes arrivé". Oui, certainement, mais cela doit être à l'étage du dessus car nous sommes en plein milieu d'un sous-terrain. La bazar pour réussir à retrouver le centre cardio-thoracique et impossible de se garer, tous les parking sont pleins. Je sens que cette ville va me les briser menue. Après une demi-heure de recherche nous finissons par trouver un parking. A force de tourner dans le parking on se demande si on ne va pas finir sur la grande corniche. Finalement pour sortir à pieds nous avons une sortie beaucoup plus haut et nous sommes plus près de l'hôpital, mais quand même une vingtaine de minute de marche à travers la ville où les clio suivent les C2. Euh, pardon! où les Bentley suivent les Ferrari, les Aston Martin. J'ai même la chance de voir de près devant un petit hôtel, une Maclaren.
Bon nous finissons par arriver. Ce n'est pas la forme mais il est apparemment hors de danger. Et rien que la vue, de sa chambre doit lui donner le moral.
Le Dilbar est à quai. On peut supposer que ces milliardaires sont déjà là pour le grand prix de Monaco qui doit se dérouler dans 3 semaines. D'ailleurs dommage que mon oncle n'ait pas été hospitalisé 3 semaines plus tard, car il aurait été aux premières loges pour assister au grand prix, sa chambre donnant sur une des artères empruntées par les bolides.
Nous le quittons, rassuré, en fin d'après-midi et il ne nous faut qu'une heure et demi pour parcourir les 8 kms qui séparent Menton du centre cardio-thoracique de Monaco. Amusant, non? Vive la côte d'azur. Nous retrouvons ma tante apparemment contente que l'on vienne à ses côtés.
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