Jeudi 17 janvier 2019
Après avoir fait tous les services, je quitte le camping vers 9h30 et je rejoins l’autoroute afin d’éviter Casablanca. Paysage de plaine. Des paysans dans les champs, des moutons avec le berger dans les prés. La campagne qui vit. Certainement ce que l’on pouvait voir en France dans les années 50/60.
Peu avant El Jadida, c’est étrange on aperçoit des chevaux qui semblent être à l’entrainement sur des pistes de fortunes au milieu de champs.
Je sors de l’autoroute à El Jadida centre. La voix d’accès à la ville est une 4 voies limitée à 80km/h. Je suis à 95 ; lorsque j’arrive au carrefour le flic regarde ses jumelles, l’air de se demander s’il elles fonctionnent. Il ne m’arrête pas ; sont-ils indulgents avec les touristes ou ne les utilisait - il pas ?
Au premier rond-point j’ai l’explication sur l’entrainement des chevaux. El Jadida est en quelque sorte notre Chantilly, la capitale du cheval.
Je m’installe au camping international qui est correct lorsque l’on est en camping-car.
Direction la cité portugaise mais avant tout je voudrais bien manger un couscous. Cela fait presqu’une semaine que je suis arrivé et je n’ai pas encore mangé de couscous. Apparemment ce n’est que le vendredi .................
...... et je me rabats donc sur des grillades au restaurant Kalaat Naji.
................... et mon thé à la menthe est en préparation.
Le tout est excellent avec un accueil super sympa.
Je longe un grand parc..............
..............pour rejoindre la plage que je longe...............
.............jusqu’à la cité portugaise.
Le Muezzin appelle à la prière, mais les jeunes jouent au foot au pied des remparts.
Visite de cette ancienne garnison portugaise. Un petit café sur une terrasse en attendant 15h, heure d’ouverture des visites...............
.......pour la ‘’citerne portugaise’’. Intéressant mais 60 Mad pour une si courte visite, c’est un peu cher.
En sortant je suis accosté par un jeune marocain qui m’attire vers son café. Ils sont vraiment très doués. Je me laisse très difficilement convaincre mais je le suis vers « le lokal » un café culturel.
Le lieu est très sympa et de la terrasse, il y a une jolie vue sur la cité portugaise. Je prends un jus d’orange et je discute un petit bout de temps avec Housni. Cela doit être certainement agréable de dîner ici le soir.
Il est temps de rejoindre le camping. Je suis venu en ville par le bord de mer et je retourne en traversant le centre-ville. Les commerçants sont les uns derrières les autres et il y en a plein les trottoirs ; des fringues, des godasses, des breloques. Des petits ateliers, mécanique, sellerie, tourneur, menuisier et tout cela à la vue de tout le monde. Arrivent-ils, tous à vendre et à vivre correctement de leur travail ?
Comme tous les jours, tri et retouches photo, préparation des textes pour le blog. C’est pire que si j’étais au boulot.
Non je blague, évidemment.
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